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RUSSIE D'ASIE 2007

- TRANSSIBERIEN-> IRKOUTSK

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- LAC BAIKAL

1) LE MUSEE

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2) LE LAC

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- IRKOUTSK

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- TRANSSIBERIEN -> EUROPE

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RUSSIE D'EUROPE 2007

 

 

FINLANDE 2007

(Commentaires réalisés à partir du "journal de voyage" de matworld)

 Pour voir l'intégralité du Journal, cliquez ici

 

RUSSIE D'ASIE 2007

 

LE TRANSIBERIEN VERS LE LAC BAIKAL photos

C'est donc le mercredi 9 mai, après déjà 11 jours de voyage, que nous quittons Oulan Bator pour rejoindre Irkoutsk à 1153 km de Moscou.

Nous quittons la Mongolie avec quelques regrets car les journées, que nous venons de vivre, ont été intenses et agréables. Nous avons rencontré beaucoup de gens attachants…

C'est vers 19 heures que nous rejoignons la gare. Il y a peu de wagons qui attendent pour se lancer vers la Sibérie. Ce n'est pas encore la pleine saison touristique. C'est la raison pour laquelle nous n'aurons pas de wagon de première. Mais notre compartiment n'aura que deux couchettes. Notre tour-leader, Chris, a très bien fait les choses : nous sommes tous dans le même wagon et les quatre " berths ", alternent avec les deux " berths ".

Les gros bras de notre équipe ont déjà installé nos bagages. J'ai demandé à ce que les miens soient mis par terre, sous les banquettes, comme cela, je peux les attraper plus facilement si un vêtement nous manque… Je mets par contre les deux petits bagages dans la soute en hauteur : comme ils ne sont pas lourds, je peux les attraper facilement et quand je veux. Celui de Jean comprend les vêtements de rechange et pour la nuit, et le mien a été transformé en panier pique-nique : on y trouve les verres, assiettes, couteaux mais aussi le pain, le nutella, le whisky et de fabuleuses réserves de thé et tisane qui me permettent d'utiliser le Samovar du wagon à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Quelle extraordinaire invention que ce Samovar ! Je me brûlerai plusieurs fois les mains mais cela aura l'avantage de tuer les microbes…

Apres une nuit de voyage, nous arrivons à la frontière mongolienne vers 5 heures du matin. Les toilettes sont déjà fermées depuis un quart d'heure. Nous ne commençons à remplir les papiers que vers 8 heures. Tout cela est fait dans le calme et nous en profitons pour grignoter les gâteaux, donnés par notre responsable de wagon, à Oulan Bator. Vers 11 heures 10, les passeports sont de retour et le train repart pour faire les quelques km qui nous séparent de la frontière russe de Naushki. Là, à nouveau sans passeport, il est impossible de descendre du train pour aller marcher ou se soulager un peu. La fermeture des toilettes commence à en titiller plus d'un et je suis sûre que certains ont dû recourir à des systèmes D pour résister… Je crois que nous sommes finalement restés 9 heures sans toilette.

La frontière étant située sur une crête montagneuse, le paysage change brusquement après l'avoir passée. Nous suivons une rivière, la Selenga, qui coule impétueusement vers le nord. Des prairies apparaissent occupées, ça et là , de troupeaux de moutons. La taïga, forêt mixte de conifères et de bouleaux, fait son apparition. Nous sommes bien en Sibérie. Les bouleaux portent leurs premières feuilles, d'un vert tendre : le printemps est donc arrivé.

Nous restons sur la partie transmongolienne de la voie ferrée jusqu'à Ulan Ude, capitale de la Bouriatie où nous sommes raccordés à la partie transsibérienne. Il nous reste encore près de 6000 km à parcourir, puisqu'à Irkoutsk, nous serons encore à 5153km de Moscou, selon mes calculs. Je n'ai pas le livre anglais sur le transsibérien que tous mes collègues se prêtent. Je procède donc par recoupements pour pouvoir me situer.

A Ulan Ude, je ne descends pas du wagon car j'ai toujours peur que le train démarre sans moi.

La traversée de la Sibérie se continue avec ses petits villages aux maisons de bois noircies par la neige et aux volets bleu ciel, de cette couleur typique que l'on trouve dans les Cyclades grecques. C'est drôle de faire ce rapprochement alors que c'est si loin !

Nous nous préparons à une nouvelle nuit dans notre compartiment : le lit n'est pas large, le matelas épais de 6 cm .

Vers 5 heures, Ann vient nous réveiller car notre arrivée à Irkoutsk est prévue vers 6 heures. Nous sommes tous prêts longtemps à l'avance et nous mettons près des fenêtres pour voir défiler le paysage.

Enfin, la gare se profile. On nous a préparé à l'idée qu'il y aura des escaliers pour passer sous les voies. Notre jeune guide, Oxana est là : elle est dynamique et souriante ce qui nous réchauffe le cœur et nous fait oublier qu'il fait à peine six degrés dehors.

Nous sommes déjà le 11 mai 2007.

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LE LAC BAIKAL

Comme du mauvais temps est prévu pour dimanche, les deux guides nous annoncent que notre visite au lac Baïkal se fera le lendemain matin. Nous rentrons donc pour nous préparer à cette nouvelle péripétie du voyage.

Nous partons vers huit heures trente car le lac se situe à environ 50 km de la ville. Notre guide en profite pour nous parler des hivers sibériens. Quand la saison est très froide, la couche de glace sur le lac peut atteindre 3 mètres et les 4wd peuvent le traverser aisément. Mais les derniers hivers ont été moins rigoureux et l'épaisseur de la glace n'a pas dépassé les 50cm : plusieurs voitures y ont sombré. Le deuxième danger vient des loups : ils manquent de nourriture durant l'hiver et il ne fait pas bon aller pique-niquer dans la forêt, au printemps, quand ils sont affamés. Oxana nous parle aussi du chamanisme toujours vivace.

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1) LE MUSEE photos

Notre premier arrêt est pour visiter le musée du lac. On y apprend que le lac Baïkal est l'un des plus vastes du monde (voir photos) avec ses 31 500km2. Il mesure 636km de long et 48 de large en moyenne. Ses côtes s'étalent sur 2100km. Le lac Tanganyika, par exemple, ne représente que la moitie de sa surface. Du temps de l'URSS, il constituait 80% de sa réserve en eau douce. Actuellement, il en représente 1/5ème au niveau mondial.

Il est surtout le plus profond du monde avec 1620 m au maximum et 730 mètres en moyenne. Certains pensent que le lac résulte d'un fossé tectonique. Il se situerait en bordure de la plate-forme de Sibérie. Les tremblements de terre y sont incessants. Le lac est alimenté par 336 rivières dont une seule ressort : l'Angara. On y trouve une très riche faune et flore comptant de nombreuses espèces endémiques.

Mais l'animal le plus original qui y vit, est le nerpa, seul phoque d'eau douce dont la colonie atteint au moins 100 000 individus. On a le droit de le chasser en avril.

Cet animal peut descendre à 180 mètres de profondeur, comme nous l'avons vu en essayant une sorte de sous-marin virtuel… Le nerpa a deux nageoires de queue (voir photo). Il est adulte à 19 ans.

Le poisson le plus courant est l'omul : il peut vivre 60 ans mais il est long à se développer car l'eau est très froide.

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2) LE LAC photos

Nous avons eu la chance d'en manger lors de notre sortie pique-nique en bateau sur le lac : notre hôtesse, Olga, venait de le fumer grâce à un petit appareil qui prépare le poisson en 40 minutes. C'est elle qui organise le repas de Noël du "Travel Director" de décembre et je suis sûre qu'il doit être délicieux. Ce matin-là, elle était allée chercher de l'ail et des baies sauvages pour nous faire un menu typiquement sibérien. Pris à l'arrière du bateau pour nous proteger du froid, c'est l'un des meilleurs repas que j'ai dégustés en Russie.

Le lac présente encore deux particularités : il est très clair, aussi limpide que celui de Crater-Lake dans l'Oregon et il est très froid : 8 degrés en surface, en moyenne, en été. Il est gelé de novembre à mai mais la couche de glace est très variable comme je l'ai dit précédemment. En automne, les tempêtes peuvent être terribles…

Son nom vient du Yakoute baigal qui veut dire mer ou océan. Ce lac, mer sacrée pour les Bouriates, est considéré comme " la perle de la Sibérie ".

Quarante villages ont été construits sur ses rives. Ils hébergent 100 000 habitants. Des chercheurs ont calculé que l'eau du lac Baïkal pourrait servir aux 6 milliards d'habitants de la terre durant 400 ans !

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IRKOURSTK photos

A la sortie de la gare, construite dans le style un peu baroque du 19ème siècle et peinte de couleur vives, un bus nous attend. Nous nous installons tous rapidement et partons à notre hôtel, distant de 2 km environ et situé sur l'autre rive de l'Angara. La chambre est vaste et éclairée par deux grandes baies qui donnent directement sur cette rivière, qui est la seule à sortir du lac Baïkal et dont le flot est si violent qu'elle ne gèle jamais…La promenade, qui la borde, est plantée d'arbres qui se parent des feuilles vert tendre du printemps. Ouf, après le train et le bitume des gares, cette verdure et cet espace font du bien.

La rivière Angara, dont je viens de parler, est un affluent du fleuve Ienisseï qui se jette dans l'océan glacial arctique. C'est l'un des trois grands fleuves de Sibérie avec l'Ob et la Lena.. La ville d'Irkoutsk a été fondée, en 1661, à la confluence de deux rivières, l'Angara, dont je viens de vous parler, et la rivière Irkoute qui a du influencer le nom de la ville. Pour situer dans le temps, maintenant que j'ai placé la ville dans l'espace, 1661, c'est le moment où Louis 14 commence à gouverner seul puisque Mazarin vient d'avoir la bonne idée de mourir .

Mais revenons à Irkoutsk, qui est considérée comme l'une des plus belles villes de Sibérie mais surtout comme l'une des plus originales du monde.

Son centre historique est réduit mais on y trouve encore quelques belles maisons de bois noir aux fenêtres entourées de boiseries en dentelle. Il est temps d'aller les voir, car, comme elles sont vétustes et n'ont pas l'eau courante, elles vont donc certainement disparaître. Elles sont pourtant terriblement séduisantes pour les touristes qui n'arrivent plus à avaler les barres d'immeubles staliniens… On trouve aussi quelques belles rues avec des maisons du 19ème siècle, peintes en rose ou jaune Marie-Thérèse…

On a surnommé la ville, le Paris sibérien. Moi, qui suis née en plein cœur de Paris, je n'irai pas jusque là, mais il est vrai qu'aux détours de certaines rues, j'ai senti que la ville avait une âme…Au 19ème siècle, de nombreuses personnes y parlaient français, en particulier les Décembristes dont je vous parlerai bientôt.

La ville est très riche, culturellement. Elle possède une trentaine de bibliothèques, des théâtres, des salles de concert. Elle fut aussi, longtemps, la base d'expéditions vers la Sibérie orientale, l'Alaska et la Chine.

La ville actuelle qui borde les rives de l'Angara, là où elle s'élargit de un ou deux kilomètres pour former la petite mer d'Irkoutsk, compte 600 000 habitants dont 88,5% de Russes, 3,4% d' Ukrainiens et 2,7% de Bouriates…Le taux de fertilité y est très bas. Sa population n'augmente que grâce à l'immigration.

La grande surprise de l'après-midi, c'est notre visite de la maison d'un décembriste, celle du Prince Wolkonski, issu d'une des plus riches familles de l'aristocratie du 19ème siècle.

Pour lui et sa famille, la vie va basculer après la mort du tsar Alexandre ler, celui qui avait laissé entrer Napoléon à Moscou. Il avait bien vu durant son règne se développer des sociétés secrètes mais il les avait trouvées inoffensives et n'avait donc pas fait intervenir sa police politique. Profitant de l'interrègne, les conjurés préparent une émeute pour le 14 décembre 1825, jour où le nouveau souverain doit prêter serment. Ils réussissent à soulever une partie des troupes, envahissent la place du Sénat à Saint Petersbourg et refusent de prêter serment à Nicolas ler. Ils espèrent, ainsi, hisser sur le trône, Constantin, frère de Nicolas, favorable à un régime constitutionnel (voir guide Visa : Moscou, St Petersbourg).

Le tsar Nicolas 1er, décide d'envoyer un médiateur, mais celui-ci est tué par un conspirateur. Le tsar fait alors charger la cavalerie : les mutins résistent. L'artillerie, enfin, arrive, elle, à disperser les rebelles. Certains tentent de traverser la Neva gelée, mais un obus tombe dans le fleuve. Le trou, énorme, provoque la mort, par noyade, d'un grand nombre de soldats… A sept heures du soir, tout est terminé.

Le tsar prend personnellement en mains l'enquête policière. Les meneurs sont rapidement arrêtés. Certains comme Pestel, Ryleev…sont exécutés dans la nuit du 14 au 15 juillet 1826. Tous les autres sont déportés en Sibérie, après avoir subi l'humiliante cérémonie de la dégradation militaire.

Le Prince Wolkonski fera donc partie de cette fournée d'exilés vers la Sibérie. Leurs femmes pourront les suivre à condition qu'elles laissent leurs enfants en Europe et elles n'auront le droit de voir leurs époux emprisonnés que quelques jours par mois au début.

Mais certaines partiront : des femmes, des fiancées… Parmi elles, on comptait de nombreuses françaises car le français était la langue de la culture et de la politique à ce moment-là. Beaucoup y moururent très jeunes, beaucoup ne revirent jamais leurs enfants, les conditions de vie étant particulièrement pénibles comme on s'en doute en 1826 en Sibérie. Elles auront à affronter la faim, la longueur des hivers et leur froid (-40 degrés), le manque de famille et de vie culturelle…

La femme du prince Wolkonski qui venait de mettre au monde un petit garçon, à l'age de 19 ans, partit. Elle confia son fils à ses parents en disant : " Je sais que mon fils sera plus heureux ici, même sans moi. Ma place est auprès de mon mari ".

Elle va tout faire pour essayer de survivre en attendant un geste du tsar leur permettant de rentrer à Saint- Petersbourg : elle va faire construire une jolie maison avec de magnifiques poêles de faïence, elle y créera même un jardin intérieur où elle obtiendra des ananas, elle aura deux enfants, recevra les journaux de France et invitera des écrivains et des compositeurs. Son Salon était célèbre et nous avons eu la chance de le voir revivre grâce à un concert organisé par le directeur de cette maison musée. Nous avons pu entendre des œuvres de Tchaïkovski, Chopin… et un poème de Pouchkine a été lu. Nous avons eu aussi la chance d'apprécier le son cristallin du seul piano pyramidal encore en état de marche dans le monde.

A la lumière des chandelles, nous avons pu imaginer les joies et les peines de cette Maria Wolkonskaia qui n'arrivera à tenir que quelques années dans cette Sibérie lointaine. Sur le tableau qui la montre, un ou deux ans avant son départ, on lui donne la soixantaine alors qu'elle n'avait que 43 ans !

Le lendemain, nous irons sur le parvis de trois églises anciennes (voir photos) : deux orthodoxes et une catholique, sur la place Pobiedy (place de la victoire) voir le monument aux morts consacré à la dernière guerre mondiale, et admirer la confluence des rivières Irkoute et Angara. Nous visiterons aussi le musée du transsibérien après un court trajet en train miniature. Enfin, nous terminerons par le marché central pour préparer notre voyage de trois jours en train vers Moscou. Je prendrai 200 grammes de caviar osciete, du vin rouge de Georgie et de la vodka…

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LE TRANSIBERIEN VERS L'EUROPE photos

Nous embarquons vers 16 heures dans le transsibérien express qui va nous conduire en trois jours à Moscou. Nous avons environ 4300 km à parcourir à travers la Sibérie occidentale.

La Sibérie représente pour la Russie 75% de sa surface soit près de 12,5 millions de km2. C'est un territoire plus vaste que le Canada où ne vit que 34,8 millions d'habitants soit seulement 23% de la population russe. C'est une région peu cultivable car le permafrost en couvre les 2/3, mais ses richesses du sous-sol, quand elles sont accessibles, sont incommensurables.

Cette fois-ci, nous avons un vrai wagon de première décoré dans les teintes bleu marine et acajou et pour le ravitaillement, une femme passe avec boissons, pains et pizzas très fréquemment.

La voie ferrée a été construite à la lisière de la taïga, aussi le paysage devient vite monotone entre les petits villages aux isbas de bois et la forêt de bouleaux.

Le premier arrêt se fait à Krasnoiarsk, à plus de 4000 km de Moscou. La ville a été fondée en 1628 comme fort militaire, c'était la capitale des cosaques. C'est maintenant un important port fluvial sur l'Ienisseï, large ici de 2km. La ville est assez banale avec ses barres d'immeubles modernes. Elle est restée fermée aux étrangers jusqu'en 1991 car elle fabriquait de l'armement nucléaire.

Nous passerons la ville de Novossibirsk sur l'Ob, 4ème ville de Russie avec 1,5 millions d'habitants, durant la nuit, puis franchirons l'Irtych à Omsk, à 2700 km de Moscou.

La vie est assez désorganisée dans le train car chacun vit à son rythme : certains sont à l'heure d'Irkoutsk alors que d'autres sont déjà à celle de Moscou. Il y en a même qui ont gardé l'heure de Melbourne ! La longueur des journées ne nous aide pas non plus à nous repérer.

Le train avance à un petit 60 km de moyenne car les convois se succèdent sur la ligne à raison d'1 tous les 20 minutes.

A 2500 km de Moscou, la taïga commence à s'éclaircir et la steppe devient marécageuse en cette période de fin de fonte des glaces. Nous longeons des zones totalement inondées car les fleuves coulant vers le Nord ont dégelé plus vite au Sud. Nous prenons d'excellentes photos de raspoutitza.

Après l'arrêt à Tyumen où le froid est mordant, nous nous approchons d'Ekaterinenbourg, dernière halte avant l'Oural et donc l'Europe. La ville est tristement célèbre puisque c'est là que le tsar Nicolas 2 et sa famille ont été massacrés le 17 juillet 1918.

Il ne nous reste plus qu'à guetter l'obélisque blanc et nous serons en Europe. Nous sommes à 1777 km de Moscou et allons rejoindre les 4 " berths " pour faire la fête.

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