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(Commentaires réalisés à partir du "journal de voyage" de matworld dont l'intégralité se trouve sur cette page)

 

MENDOZA photos

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La ville de Mendoza est située à 1080 km à l’ouest de Buenos Aires. On l’atteint après une heure de vol environ et on atterrit au coquet aéroport, el Plumerillo.

La région de Mendoza est une province andine couvrant environ 150 000 km2 et qui comptait 1 667 000 habitants, en 2005. Elle appartient à l’ensemble du Cuyo, avec les provinces de San Juan et de San Louis.

Sa capitale est Mendoza, fondée, en 1561, par les Espagnols. Son climat est désertique, il ne tombe que 200mm de précipitions par an et ce serait du bush si les indiens Huapes, n’avaient pas commencé à utiliser l’eau des rivières des Andes, pour créer des canaux et irriguer, dès le XVème siècle.

Les rivières descendant des Andes sont nombreuses. On peut citer les rios : Desaguadero, Mendoza, Tunuyan, Diamante et Atuel. De nombreux barrages ont été construits, huit au moins, permettant de donner en plus de l’eau, de l’électricité.

La principale activité de cette province est la viticulture. Elle assure la production de 70% du vin argentin et procure 84% de sa valeur (2006).

L’Argentine est le premier producteur de vin d’Amérique Latine et le 5ème du Monde. Les surfaces plantées sont inférieures à celles des années 1970, mais les rendements ont augmenté. Sur les 15,7 millions d’hl produits, 53% donnent du rouge, 38% du blanc et 3% du rosé. Pendant longtemps, les Argentins, gros consommateurs de vin (45l par hab. et par an) ont bu 90% de leur production, mais depuis les années 1990, ils ont amélioré la qualité pour pouvoir exporter. Ils étaient les 13èmes exportateurs mondiaux, en 2005.

Le vin de cette région est de plus en plus prisé, car, comme la vigne est cultivée au pied des Andes, entre 800 et 1700 mètres, il y a peu d’insectes ou de champignons, ils n’utilisent pratiquement pas de pesticides et font donc un vin bio, très à la mode…

Ce serait Juan Cedron, un Espagnol qui aurait apporté quelques ceps, au XVIème siècle, dans cette région.

Mais, comme dans beaucoup de pays d’Amérique, la viticulture fut tentée, à grande échelle, d’abord, avec des cépages locaux (Vitis Labrusca, Vitis Rupestris….) mais ils donnaient des vins au gout « foxé » soit très rude et acide. Les moines franciscains firent donc venir d’Europe, de meilleurs cépages. Pour le vin blanc, on utilise surtout du Chardonnay, du Torrontes, du Sauvignon, du Chenin, du Viognier et du Semillon.

Pour le rouge, les cépages les plus utilisés aujourd’hui sont : le Malbec (vin de Cahors), le Bonarda Tempranillo, le Cabernet Sauvignon et un peu de Cabernet-Merlot et de Syrah.

Les raisins indigènes Criolla Grande et Cereza sont utilisés pour 50% de la production de la province de Mendoza qui n’est pas exportée. Ils donnent des vins à bas prix pour le marché local.

Nous avons profité de notre séjour à Mendoza pour visiter trois caves à vin de Lujan, sur les 1221 que compte la région, s’appuyant sur des surfaces en vignobles et des modes de production du vin, très différents.

Nous avons d’abord visité la cave à vin : Weinert, fondée en 1890, donc l’une des plus anciennes. Ils utilisent encore de vastes chais en chêne. Pour la récolte, ils font venir des Boliviens qui restent pendant trois mois. Le domaine a été racheté, dans les années 70, par un brésilien.

La seconde que nous avons visitée s’appelle Norton. Quand on y arrive, on a une vue splendide sur les vignes taillées en treille et sur des champs de nouveaux plants, avec en fond, se détachant du ciel bleu, la Cordillère des Andes encore couverte de neige en ce début de printemps. Elle possède plus de 1000 ha de vigne et fait travailler 100 employés à temps plein.

Elle a été créée par un ingénieur anglais qui participait à la construction de la ligne de chemin de fer Buenos Aires - Santiago du Chili, entre 1895 et 1910. Depuis les années 90, elle appartient à la famille Swarowski, les cristalliers autrichiens. Les moyens les plus modernes sont utilisés pour la vinification. Il y a de moins en moins de barriques bordelaises de 200 litres, par contre, les cuves en inox sont nombreuses.

La dernière que nous avons visitée était de taille plus petite, avec une ambiance très conviviale. Elle possède 20 ha de vignes et n’a que vingt ans d’existence. Ce sont des Français, nés en Argentine, qui l’ont créée : elle s’appelle Ruca Malen. Nous y avons dégusté un excellent lunch de cinq plats, très nouvelle cuisine, arrosé de vins particulièrement choisis pour rehausser la saveur des aliments. Le menu était un vrai poème. Tout cela, bien sûr, sur une terrasse face aux Andes

Autres activités de Mendoza :

La viticulture est essentielle mais d’autres cultures sont présentes comme le maraîchage, la culture fruitière et les fourrages.

Le sous sol est intéressant aussi : on en extrait du pétrole et du gaz naturel, de la chaux et de l’uranium. On considère que le sous-sol renferme 14% des réserves de pétrole d’Argentine. La production pétrolière a commencé à la fin du XIXème siècle.

Le frère de notre guide, je crois, fait des études de géologie à San juan, ce qui montre l’intérêt de la nouvelle génération pour le sous-sol.

Du point de vue industriel, on transforme les matières premières locales : comme nous l’avons déjà vu, les caves à vin sont nombreuses mais on trouve aussi des conserveries, des raffineries de pétrole, des cimenteries…

La plus grosse industrie de la région est IMPSA (industria metallurgica Pescarmona SA). Elle travaille dans le monde entier et produit principalement des équipements pour barrages hydroélectriques (turbines, générateurs et systèmes électroniques), des grues de ports pour le déchargement des cargos, des réservoirs d’hydrocarbures et depuis peu, des éoliennes.

Le tourisme s’est développé dans toute l’Argentine depuis les années 1990 et a connu un boom après la crise financière des années 2002-2003, le cours du peso devenant très intéressant pour les étrangers. Mais ici, cela a été encore plus flagrant grâce aux caves à vin et surtout grâce à la beauté des paysages naturels proches.

N’oublions pas qu’à 180 km de Mendoza, s’élève l’Aconcagua, le plus haut sommet d’Amérique Latine (6 962m). La sentinelle de pierre des Incas attire les grimpeurs les plus chevronnés de la planète. Le premier à la vaincre était, d’ailleurs, un Suisse, en 1897. Il paraît qu’elle est aussi difficile à escalader que des sommets himalayens de plus de 8000 m, à cause de conditions atmosphériques particulières.

Le parc national de l’Aconcagua a été créé en 1983.

Il existe aussi des stations de ski de renom : Las Lenas, Villa Penitentes et Vallecitos. Les circuits touristiques et de randonnées attirent des touristes argentins mais aussi du monde entier. Notre guide accueillait des Néerlandais, la semaine après nous et il y avait un car de Québécois dans notre Executive hôtel. Ils allaient traverser les Andes, pour se rendre à 390 km de là, à Santiago du Chili.

D’autres sports peuvent encore être pratiqués, le rafting sur les rivières, le parapente, la randonnée à cheval. Il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux…

LA VILLE

La ville, elle même, de Mendoza est attrayante : c’est l’une des villes les plus animées d’Argentine. Elle compte 150 000 habitants mais on atteint 800 000 avec les banlieues. C’est la 4ème agglomération du pays.

Elle jouit d’un climat agréable, à 756 m d’altitude, de la proximité des Andes et des vignobles, comme nous venons de le voir. Elle est réputée aussi pour ses fêtes folkloriques et en particulier la grande fête des Vendanges, qui a lieu depuis 1936, le premier samedi de Mars. On y élit la Reine Nationale.

La ville de Mendoza a connu deux fondations : La première en 1561, par Pedro de Castillo qui vint du Chili et qui lui donna le nom du gouverneur de l’époque. Elle connut un essor rapide grâce à la viticulture, dont nous avons vu l’évolution, mais aussi, grâce aux mines d’argent d’Upsallata, situées à proximité. Des petits fours y avaient été installés pour fondre le minerai et quand il s’est raréfié, on les a utilisés pour la fonte des canons.

Elle jouera donc un rôle clé durant la guerre d’Indépendance. C’est de là que le colonel San Martin, futur général, rassembla son armée et la prépara à franchir les cols des Andes, en 1817, pour aller libérer le Chili et le Pérou du joug espagnol. Mais il ne reste pratiquement rien de la ville de cette époque, car un violent séisme l’a détruite, en 1861. Il y eut plusieurs milliers de victimes.

La reconstruction fut confiée, dès 1863, à un urbaniste français, Ballofet, qui la reconstruisit sur un site voisin. Le tracé est en damiers, avec une Place centrale, la place de l’Indépendance qu’on appelle aussi le Microcentro et quatre places aux angles du carré : la plaza Espana au sud-est, la plaza Italia, au sud-ouest, celle du Chili au nord–ouest, avec des statues du General San martin et de son comparse O’Higgings, et enfin la Place San Martin, avec une statue équestre du général. Ces places devaient servir de refuge à la population en cas de nouveau séisme, toujours possible, vue la proximité des Andes.

C’est de cette place San Martin que nous avons commencé la visite de la ville. C’est là qu’il reste quelques vestiges de la ville ancienne, comme l’église San Francisco, construite en 1731, et le couvent attenant. Ils sont aujourd’hui supportés par d’épais étais de fer.

On trouve aussi le Cabildo, dont l’intérieur a été récemment réaménagé en un musée qui raconte l’histoire de la région. L’emplacement aurait été utilisé dès 8 000 ans avant Jésus Christ.

Les historiens et les artistes locaux ont essayé, en particulier, de reconstituer le genre de vie des Indiens Huapes qui seraient à l’origine de l’irrigation par canaux…

On peut même voir des parties d’anciennes rues pavées, de canaux, d’ustensiles utilisés par les premiers colons. De nombreuses maquettes de plans de la ville sont exposées.

Nous nous sommes rendus ensuite au palais du gouvernement pour admirer le premier drapeau argentin.

Nous avons enfin terminé la visite par l’immense parc du général San Martin, dessiné en 1896, par le paysagiste français, Charles Thays,qui a aussi dessiné certains jardins de Buenos Aires. Il couvre 354 hectares et les Mendocinos peuvent se promener sur près de 17 km de routes.

Son entrée principale est située sur l’avenue de Boulogne sur Mer (nom utilisé car c’est là que le général est mort). Les grilles en fer forgé sont impressionnantes.

On trouve ensuite une reproduction des chevaux de Marly et une fontaine des quatre continents, symbolisés par des personnages en bronze. Puis, on atteint le lac des Régates qui fait penser à celui du Bois de Boulogne.

Nous terminons la visite par l’ascension du Cerro de la Gloria, situé à 985 mètres, et surmonté de sculptures et de bas reliefs magnifiques, qui racontent le passage des Andes par le général San Martin. En redescendant, nous apercevons l’amphithéâtre en plein air où se tient chaque année la fête des Vendanges. Il peut contenir 22 000 personnes sur les 200 000 qui y participent.

La ville doit receler de tas d’autres trésors, mais il aurait fallu plus d’une demi-journée pour les voir…

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MAR DEL PLATA photos

 

Apres l’oasis irriguée de Mendoza, nous avons eu des envies de mer et de vagues et la curiosité nous a pris d’aller visiter la ville, à laquelle on a donné le nom de Biarritz argentine, c’est à dire Mar del Plata, située, elle aussi, au bord de l’Océan Atlantique, mais du côté Ouest.

Nous aurions pu venir par la route car nous ne sommes qu’à 400 km au sud-est de Buenos Aires, par le train, l’essor de la ville date d’ailleurs de l’arrivée du train en 1886, ou par avion, ce que nous avons choisi de faire, car nous ne disposions que d’une journée pour nous imprégner de la ville.

En 50 minutes, depuis l’aeroparque de Buenos aires, nous atteignons Mar del Plata. Nous sommes en basse saison et prenons le vol de la soirée ce qui nous permet d’admirer, à l’atterrissage, le parfait damier de cette ville, créée dans la deuxième moitié du XIXème siècle.

Durant la saison estivale et la Semaine Sainte, le nombre de vols peut être multiplié par dix.

C ‘est ce que notre guide essaie de nous faire comprendre, quand il nous accueille au petit aéroport, où les bagages ont été vite récupérés. En hiver, la ville compte dans les 530 000 habitants et environ un million pour l’agglomération. Mais en janvier, février, près de 4 millions de touristes y séjournent et la ville connaît d’importants embouteillages.

Ce sont principalement des Argentins qui y viennent. Nous trouverons peu de gens parlant anglais ou d’autres langues que l’Espagnol, à la difference des autres villes que nous avons visitées. Il n’y vient pas non plus de touristes internationaux, qui préfèrent la station uruguayenne, à la mode, de Punta del Este.

Il est vrai que, comme nous sommes à 38 degrés de latitude sud, les températures y sont un peu plus fraiches : la température moyenne annuelle est de 14 degrés. Le mois le plus chaud est le mois de Janvier avec une moyenne de 20 degrés et le plus froid, le mois de Juillet, avec seulement 8 degrés. C’est aussi une région très arrosée et qui connaît de nombreux jours de brouillard. C’est la raison pour laquelle, un phare, d’origine française, fut assez tôt construit (1891).

Mais voyons les étapes qui ont marquées l’élaboration de cette ville.

Les premiers européens, à avoir connu cette côte, sont certainement les compagnons de Magellan, quand il partit faire son tour du Monde, en 1519. C’était une zone assez plane et donc mal drainée, d’où l’existence de nombreux étangs. Il y avait peu d’arbres, les espèces que nous trouvons aujourd’hui sont, pour la plupart, importées.

En 1756, une mission jésuite s’y installa : Nuestra Senora del Pilar, mais elle ne dura pas longtemps. La toponymie garde, pourtant, une trace de ce passage avec la Laguna de los Padres, située à une vingtaine de kilomètres en arrière de la côte.

En 1857, une tannerie portugo-brésilienne est créée ainsi qu’un petit port, à l’endroit qui s’appellera plus tard, la Pointe des Anglais. Cette tannerie ne marcha pas très bien et fut rachetée, en 1860, par un homme qui va attacher son nom à ce lieu. Il s’appelait Patricio Peralta Ramos et était né, en 1814, à Buenos Aires. Il acheta aussi plusieurs milliers d’hectares et installa une estancia d’élevage, vers Cabo Corrientes, qu’il légua à son fils , Jacinto, à sa mort en 1887.

Il fallut attendre le 10 février 1874, pour que l’autorisation officielle de fonder Mar del Plata fut donnée. Un armateur, possédant une flotille de voiliers, Pedro Luro, commença, à partir de 1877, à faire prospérer cette région.

Dans les années 1880, les Portenos commencent à venir mais ils doivent emprunter une diligence sur 180 km. Le gouverneur de province, Dardo Rocha, promet en 1883, l’extension de la ligne de chemin de fer. Le premier train entrera en gare de Mar del plata, le 26 septembre 1886.

En 1888, s’ouvrit le premier grand hôtel, l’hôtel Bristol, avec 67 chambres. Sa construction fut financée par Jose Luro. Petit à petit, il s’agrandit jusqu'à atteindre 500 chambres. C’est l’époque où de magnifiques demeures sont construites, par des architectes souvent d’origine européenne. Certaines de ces villas subsistent encore : la Villa Normandy, la Villa Victoria, la Villa ortiz Basualdo…mais beaucoup ont été détruites dans les années 1950, car elles ne correspondaient plus à la taille que désiraient les touristes et surtout elles étaient impossibles à moderniser intérieurement. Certaines sont devenues des musées.

Nous avons été étonnés par le nombre de belles maisons à vendre, en particulier dans le quartier de Los Troncos. Pour 400 000 dollars américains, vous pouvez vous offrir une magnifique résidence d’été...

Car la Belle Epoque de Mar del Plata s’est tenue, avant 1914. A cette date, l’ouverture du Canal de Panama, mit fin à tout espoir de développement du port de la ville. Il y a bien un petit port de pêche, un port militaire, mais le port commercial reste limité, compte tenu de son faible hinterland.

1914, ce fut aussi le début de la première guerre mondiale, en Europe, et les vacanciers vinrent moins nombreux. Quand la guerre se termina en 1918, la ville ne retrouva pas son faste d’antan. Les classes moyennes vinrent plus nombreuses profiter des 39 km de plages et on construisit des tours d’appartements.

De nos jours, les plages sont bien aménagées et offrent une variété d’activités sportives. Sur certaines, on peut même pratiquer le surf.

D’autres personnes préfèrent profiter du golf, proche du port, des nombreux sports équestres mais aussi du tennis. Nous avons ainsi vu, le tennis-club où s’entraina un argentin dont la renommée devint mondiale, dans les années 70 : Guillermo Vilas.

Si vous n’aimez pas le sport, comme Winston Churchill, vous pouvez aller voir les places historiques de la ville : la plaza San Martin, avec le Palais Municipal et la Cathédrale Saint Pierre et Sainte Cécile, aux très beaux vitraux français, la plaza Colon près du Casino et de l’hôtel provincial, ou la Plaza Espana où vous accueilleront les statues de Don Quichote et Sancho Panza…

Enfin, pour les amateurs de pittoresque vous pourrez aller admirer la seule colonie naturelle, en zone urbaine, de phoques : Los Lobos. Ils sont protégés, depuis 1994. L’animation est garantie, à tout heure, mais attention à l’odeur !

Enfin, la nuit, les lumières du Casino s’allument comme celles des restaurants et des boites de nuit. Mais vous pouvez, aussi, vous rendre au théâtre Colon, construit en 1924, ou aller écouter concerts ou chanteurs…

Finalement la ville de Mar del Plata est plus intéressante qu’elle ne le paraissait, au premier abord.

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